Une économie au service de l’humain et de la planète
Nous souhaitons amplifier notre soutien à l’ESS (Économie sociale et solidaire) et aux coopératives qui placent l’humain et l’environnement au cœur de leur projet économique, mais nous pensons que l’ensemble de nos entreprises peuvent prendre leur part dans ce cercle vertueux : en renforçant les critères et l’évaluation de nos aides, en systématisant des bonifications pour leurs bonnes pratiques, nous voulons en faire des piliers de la transition.
Des zones d’activité peuvent en devenir le symbole : c’est notamment le cas de la Janais, que nous souhaitons réindustrialiser en y développant le secteur des mobilités décarbonées ou de l’écoconstruction. Ces filières en forte croissance sont l’opportunité de créer de nombreux emplois de qualité.
Soutenir l’économie locale et le commerce de proximité
Nos entreprises locales ont besoin d’outils fonciers adaptés à leur cycle de développement. C’est pourquoi nous voulons investir dans une société foncière, qui permettra d’acquérir des locaux et de les remettre en location à des prix abordables.
Soutenir les entreprises locales, c’est aussi les accompagner pour accéder plus facilement à nos marchés publics et renforcer nos aides aux commerces de proximité. Aussi, nous refusons de sacrifier nos terres agricoles et naturelles pour de grandes surfaces commerciales. Nous ne devons plus avoir à nous battre contre des projets comme Open Sky à Pacé.
Coopérer, entre territoires et entre communes
Enfin, cessons de concentrer toutes les richesses de notre métropole dans sa ville centre, pour mieux les répartir sur l’ensemble du territoire métropolitain. Les politiques de « rayonnement » et de « ruissellement » sont désormais dépassées : place aux coopérations et aux solidarités territoriales, dans l’aménagement entre ville centre et périphérie, mais aussi avec les territoires voisins de notre métropole, à l’échelle départementale et bretonne.